Publié le : 17/03/2016 | modifié le : 17/03/2016
Entre la musique inspirée de Baloji, que le dynamique Belgo-Congolais défini comme du “blues de la brousse”, et la poésie rugueuse de Saul Williams, la soirée du 16 mars a marqué A Vaulx Jazz de son empreinte indélébile. Surtout lorsque le rappeur new-yorkais a délaissé la scène pour venir communier avec le public en toute simplicité. Ajoutez à cela la présence de Dizzy Mandjeku, guitariste de l’orchestre de Katuba qui accompagnait Baloji et légende de la musique subsaharien pour confirmer s’il le fallait, le lien indéfectible entre hip hop et jazz.
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