Publié le : 09/04/2014 | modifié le : 14/04/2014
«Mon immeuble n’est pas un resto pour animaux»
En nourrissant les animaux :
- Les rats, les blattes, les chats errants sont attirés : ma santé est menacée
- les coûts d’entretien, donc mes charges, sont augmentés
- les accès aux bâtiments sont dégradés
- je crée une gêne pour mes voisins
En arrêtant de nourrir les animaux :
- la santé de tous est améliorée
- le travail des gardiens sera respecté
- les espaces extérieurs resteront propres
- mes voisins ne seront pas incommodés
Le niveau des déchets déposés doit permettre, sans tassement, la fermeture du couvercle s’opposant à l’accès des insectes, rongeurs et autres animaux. En cas de constatation de débordements chroniques, la Communauté urbaine de Lyon saisira le maire de la commune concernée pour l’exercice de ses pouvoirs de police.
Il est également interdit de nourrir en tous lieux publics les animaux errants ou sauvages, notamment les chats et les pigeons. Cette interdiction est applicable également aux voies privées, cours ou autres parties d’un immeuble lorsque cette pratique risque de constituer une gêne pour le voisinage ou d’attirer les rongeurs.
Arrêté préfectoral du 10 avril 1980, article 120
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